Portraits et autoportraits : l’analyse la plus aiguë d’un masque
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Portraits et autoportraits : l’analyse la plus aiguë d’un masque
Une tendance bien caractéristique de mon esprit, c’est d’aller du particulier au général, de faire l’analyse la plus aiguë d’un masque, d’une silhouette, de faire une description balzacienne d’un paysage, d’une maison et ensuite de les transposer sur un plan décoratif et rubénien.
Journal de Marguerite Jeanne Carpentier – Tome 4 – 9 octobre 1941